Reconnaître, c’est grandir


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Qui ne connaît pas la notion ” d’erreur humaine ” ? Et pour cause, on a tous le droit de commettre des erreurs pour bien des raisons, le stress, la fatigue, la pression ou les efforts visant à atteindre l’objectif des exigences du gouvernement.. . . . Autant de facteurs qui font qu’accentuer cette problématique. 

Même si là, majoritairement, ces erreurs sont involontaires, elles peuvent coûter cher aux associations qui sont inscrites en loi de 1901. Mais elles sont maîtrisées en droit local, loi des associations de 1908, car elles doivent passer devant le greffier du tribunal Administratif pour approbation. 

Dans les statuts de la Ligue nationale ERCI : On trouve ce que l’on appelle une structure pyramidale classique. Un socle composé de l’assemblée générale de ses membres. Au-dessus, le Conseil d’administration, chargé de l’orientation stratégique et de l’exécutif, qui met en œuvre les décisions du Conseil d’administration, bien souvent dénommé le bureau. Cet organe est composé  du président représentant statutaire de l’association, d’un trésorier et d’un ou une secrétaire, mais surtout de 7 personnes en droit local.

Dans cette nouvelle forme proposée de fonctionnement en ligne, atypique et moderne de gestion d’associations, les décisions importantes sont prises en commun. Les responsabilités sont distribuées entre plusieurs personnes qui n’ont aucun lien entre elles. Chaque participant assure sa part de gestion et endosse publiquement sa responsabilité envers les tiers. 

Cette nouvelle gestion est la solution moderne pour remplacer un dirigeant absent provisoirement ou définitivement. Dans une structure nationale où l’évolution de celle-ci est constante, en devenant, de plus en plus chronophage devant les responsabilités et la surcharge de travail, les directeurs de pôles partageront ainsi les responsabilités, chacun en fonction de ses disponibilités, de ses compétences, et le fardeau en sera réduit d’autant pour tous.

Un tel mode de fonctionnement n’est pas sans risque et il faut rester vigilant. Rentrer dans la gestion du 21e siècle, est plus innovant, que de rester à se morfondre dans une gestion antérieure, qui ne reflète plus les réalités actuelles.

Dans l’enthousiasme de cette future gestion, il y a eu l’erreur de commise. Nous avons pensé que pour une gestion en ligne, il suffisait uniquement de présenter la nouvelle ossature, étant donné que les principaux interessés restaient en poste sous une nouvelle dénomination. Nous avons omis de passer par une modification des statuts, de les faire voter en assemblée générale extraordinaire; d’où le rejet par le tribunal Administratif sous cette forme. L’obligation de revenir à l’ancienne forme du Comité pour une année afin de valider notre AG 2022 et conserver ainsi l’intérêt général. Voilà la raison occasionnant ce retard de publication. 

Si nous souhaitons analyser cette omission, tout en restant optimistes, c’est que le moment n’était pas encore venu pour elle de voir le jour cette année, et attendre que l’on revienne là où c’est créé notre regroupement, puis notre Ligue nationale. Un retour en arrière positif, afin de nous donner un temps de nous préparer à peaufiner sa mise en oeuvre pour 2024.

La décision a été prise par l’équipe en place de finir l’année et de reporter le vote de la nouvelle gestion en ligne à l’année prochaine. Elle sera entérinée à Saint-Vaury, lieu même de la première AG constituante et ainsi, fermer la boucle de 8 années de gestion du siècle dernier. Ce semestre de transition permettra de consolider cette nouvelle vision de gestion et donnera le temps d’adaptation à tous nos clubs. Quant à la gestion actuelle, elle se fera par comité directeur sous la responsabilité du président en place. 

Le bénévolat vous incite à faire plus. Il vous donne également de nouvelles idées, la force de faire de votre mieux. Cela rend heureux l’acte gratuit effectué. Il n’y a personne qui soit supérieur ou meilleur dans l’acte de faire du bénévolat. Tout ce qu’il faut, c’est faire du mieux que l’on peut.

L’acte n’a pas besoin d’être grand, les petites choses comptent aussi.

Conjointement  Pôle juridique / Pôle Informations 

Pascal Brilot / Jean Pierre Neurdin

 

 

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